J'ai le sentiment?

d'avoir changé, d'être décalée par rapport à mon entourage. Je suis zen, j'ai de la distance sur plein de choses et mes proches parlent sans cesse la plupart du temps pour se plaindre ou pour parler d'eux. Je suis à leur écoute et de ce fait je n'ai même plus envie de raconter quoi que ce soit, car j'ai l'impression qu'en fin de compte ça ne les intérresse pas.ce qui les intérresse, c'est de me parler d'eux.Après avoir traversé beaucoup de moments difficile dans ma vie, je suis enfin heureuse, je me rends compte que je ne peux même pas partager mon bonheur avec eux, mais uniquement avec mon Chéri. Finalement, mes proches ne sont pas à mon écoute "réellement".qu'en pensez vous? est-ce la nature humaine qui est ainsi? EN SAVOIR PLUS >>>

Les gens qui écoutent sont tellement rares qu'ils finissent par se faire "bouffer" par les autres. Tu as choisis le camp de ceux qui ne se plaignent pas, il faut te faire à l'idée que maintenant tu vas devoir remplir ce rôle.
Préserve-toi quand même car on ne peut pas supporter les histoires et les problèmes des autres sans y laisser à chaque fois un peu de soi!!
Bon courage (il va t'en falloir!) et bonne journée!
Cela m'est souvent arrivé. Mais tu es heureuse en amour, et ça, c'est la plus belle des choses sur cette terre que même l'argent ne peut acheter.
Profite-bien de ton bonheur.
tu es zen parce que tu es amoureuse.
Fais le tri entre tes amis , ceux qui partagent et les autres.
Le gens qui parlent d'eux le font souvent pour deux raisons distinctes :
1) véhiculer une émotion plus qu'une information. Il te faut donc décrypter cette émotion afin de leur répondre par rapport à celle-ci.
2) Besoin de reconnaissance. Pour exprimer leur appartenance ils ont besoin d'être reconnu par leur interlocuteur. Il faut donc aussi répondre à ce niveau.
Il est apparament trop tôt pour leur faire partager ton bonheur puisqu'eux ne sont pas à ton écoute trop omnubilé par leurs soucis. Ce n'est pas de l'égoïsme.
Ton bonheur peut même leur paraître insoutenable.
Garde se partage avec ton "Chéri" qu'ils vous préserve tous les deux de tomber un jour dans les 2 points ci dessus.
Je le pense.
On cherche à se différencier, se particulariser, se personnaliser pour se sentir être en vie au milieu de la cacophonie des hommes. Notre instinct de survie, c'est notre différence.
Maintenant, le jugement que tu poses sur tes amis ne procède-t-il pas d'un schéma identique à celui de tes amis, qui sont centrés sur leur problèmes. Il semble que dans les deux cas, chacun essaye de partager quelque chose avec l'autre sans succès. Eux leurs (petits) malheurs et toi, ton bonheur. Chacun s'entend et s'écoute sans doute trop. Pour bien voir il faut ne pas se voir.
Peut-être aussi que si tu souffres de leur égoïsme c'est que tu ne t'es pas complètement défait du tien.
J'en sais rien, c'est toi qui sait.